J'adore la batterie que j'ai pratiquée de longues années; A une époque, le meilleur batteur, du moins sur le plan technique, s'appelait Billy Cobham. Il avait la réputation de faire des figures et des rythmes jamais entendus avant lui. Une fois, dans une interview, le journaliste lui avait demandé comment il avait eu l'idée de développer de telles techniques. Et il avait répondu "et bien, on ne m'a simplement jamais dit que ce n'était pas possible".
D'une certaine façon, ne pas avoir un parcours académique libère la créativité. J'ai d'autres exemples, Dominique Duvivier, mon maître en magie, etc ...
Inversement, connaître ses limites est terriblement sclérosant, savoir qu'on n'y arrivera pas parce que c'est "bien trop compliqué" est la voie la plus rapide vers l'échec. Mon "métier" d'accompagnateur scolaire auprès d'enfants en (grande) difficulté me le fait vivre au quotidien.
Et le rapport avec l'origami ? Je vous laisse la réponse.
lundi 19 juillet 2010
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